Merci à tous ceux qui ont partagé leurs expériences et leurs réflexions au cours de la semaine écoulée.
Cet échange a été inspirant, avec des contributions des membres d’Eval4Earth venus d’Afrique, d’Asie, des Amériques et d’Europe.
Alors que nous entrons dans notre dernière semaine, nous vous invitons à réfléchir aux deux nouvelles questions suivantes :
Comment la communication peut-elle être intégrée tout au long du processus d’évaluation ? Comment mieux mesurer si les efforts de communication conduisent réellement à l’utilisation des résultats d’évaluation ?
Veuillez continuer à partager vos expériences et exemples en anglais, français ou espagnol.
Principaux enseignements de la discussion de la semaine dernière
La collaboration avec des partenaires locaux renforce la pertinence et la portée.
Les contributeurs ont convenu que la collaboration avec le personnel et les partenaires locaux est essentielle pour une communication à la fois pertinente et efficace. Les partenaires locaux apportent une connaissance des dynamiques socioculturelles, des nuances linguistiques et des contextes politiques, ce qui améliore la précision, la crédibilité et l’inclusivité. La collaboration renforce également les capacités, favorise l’appropriation et promeut un apprentissage mutuel.
Obul Ronald a noté que les partenaires locaux peuvent aider à atteindre les parties prenantes ayant un faible niveau de littératie ou un accès numérique limité. Said Hannan a souligné leur rôle dans le développement d’exemples concrets et spécifiques au contexte, ainsi que dans l’utilisation des langues locales. Abramane Kone a partagé son expérience réussie en nommant des points focaux communautaires pour maintenir un dialogue continu entre les évaluateurs et les communautés. Everline Frances a observé que l’implication des partenaires locaux transforme la communication, passant du simple partage de résultats à un processus d’apprentissage continu et favorisant un retour d’information sincère. Julian Nyamupachitu a décrit comment l’implication des jeunes a insufflé créativité, énergie et innovation à son évaluation, rendant les résultats plus accessibles et largement partagés.
Plusieurs contributeurs ont suggéré de travailler avec les partenaires locaux pour identifier des plateformes communautaires de confiance — telles que les rassemblements religieux, les événements sportifs et les groupes de jeunes — où les gens se réunissent naturellement pour échanger et réfléchir. Ces espaces favorisent l’inclusion et aident à transformer les données probantes en action collective.
Emmanuel Abatta a averti que les évaluateurs externes qui ne collaborent pas avec des experts locaux risquent d’ignorer la diversité des parties prenantes. Il est essentiel d’impliquer les partenaires locaux dès la phase de planification.
Diagne Bassirou est allé plus loin, soulignant que la communication avec les partenaires doit faire partie intégrante du projet lui-même. Lorsque de tels processus existent, les équipes d’évaluation doivent s’y appuyer.
Stratégies de communication à faible ou sans coût
Les participants ont également partagé des idées pratiques pour diffuser les résultats à moindre coût :
Utiliser le courrier électronique et les réseaux sociaux pour partager des messages sous différents formats : courtes vidéos, messages vocaux ou infographies, et même réaliser de courts sondages pour recueillir des retours.
S’appuyer sur des événements, plateformes et réseaux communautaires existants pour stimuler le dialogue sans coûts supplémentaires. Obul Ronald a donné l’exemple d’une émission radio animée par des jeunes qui a permis de promouvoir le dialogue sur l’évaluation. Uzodinma Adirieje a recommandé les plateformes virtuelles comme moyen abordable de diffusion large des résultats.
RE: Beyond the final report: What does it take to communicate evaluation well?
United Kingdom
Harriet Maria Matsaert
Communications specialist
FAO Office of Evaluation
Posté le 04/11/2025
Merci à tous ceux qui ont partagé leurs expériences et leurs réflexions au cours de la semaine écoulée.
Cet échange a été inspirant, avec des contributions des membres d’Eval4Earth venus d’Afrique, d’Asie, des Amériques et d’Europe.
Alors que nous entrons dans notre dernière semaine, nous vous invitons à réfléchir aux deux nouvelles questions suivantes :
Comment la communication peut-elle être intégrée tout au long du processus d’évaluation ?
Comment mieux mesurer si les efforts de communication conduisent réellement à l’utilisation des résultats d’évaluation ?
Veuillez continuer à partager vos expériences et exemples en anglais, français ou espagnol.
Principaux enseignements de la discussion de la semaine dernière
La collaboration avec des partenaires locaux renforce la pertinence et la portée.
Les contributeurs ont convenu que la collaboration avec le personnel et les partenaires locaux est essentielle pour une communication à la fois pertinente et efficace. Les partenaires locaux apportent une connaissance des dynamiques socioculturelles, des nuances linguistiques et des contextes politiques, ce qui améliore la précision, la crédibilité et l’inclusivité. La collaboration renforce également les capacités, favorise l’appropriation et promeut un apprentissage mutuel.
Obul Ronald a noté que les partenaires locaux peuvent aider à atteindre les parties prenantes ayant un faible niveau de littératie ou un accès numérique limité.
Said Hannan a souligné leur rôle dans le développement d’exemples concrets et spécifiques au contexte, ainsi que dans l’utilisation des langues locales.
Abramane Kone a partagé son expérience réussie en nommant des points focaux communautaires pour maintenir un dialogue continu entre les évaluateurs et les communautés.
Everline Frances a observé que l’implication des partenaires locaux transforme la communication, passant du simple partage de résultats à un processus d’apprentissage continu et favorisant un retour d’information sincère.
Julian Nyamupachitu a décrit comment l’implication des jeunes a insufflé créativité, énergie et innovation à son évaluation, rendant les résultats plus accessibles et largement partagés.
Plusieurs contributeurs ont suggéré de travailler avec les partenaires locaux pour identifier des plateformes communautaires de confiance — telles que les rassemblements religieux, les événements sportifs et les groupes de jeunes — où les gens se réunissent naturellement pour échanger et réfléchir. Ces espaces favorisent l’inclusion et aident à transformer les données probantes en action collective.
Emmanuel Abatta a averti que les évaluateurs externes qui ne collaborent pas avec des experts locaux risquent d’ignorer la diversité des parties prenantes. Il est essentiel d’impliquer les partenaires locaux dès la phase de planification.
Diagne Bassirou est allé plus loin, soulignant que la communication avec les partenaires doit faire partie intégrante du projet lui-même. Lorsque de tels processus existent, les équipes d’évaluation doivent s’y appuyer.
Stratégies de communication à faible ou sans coût
Les participants ont également partagé des idées pratiques pour diffuser les résultats à moindre coût :
Obul Ronald a donné l’exemple d’une émission radio animée par des jeunes qui a permis de promouvoir le dialogue sur l’évaluation.
Uzodinma Adirieje a recommandé les plateformes virtuelles comme moyen abordable de diffusion large des résultats.