Agricultural Economist, Associate Professor, Director of the School of Agribusiness and Agricultural Policy
National University of Agriculture
Posté le 08/01/2025
Chers Collègues,
Je pense qu'une innovation, un programme ou une politique qui a été bien élaborée, notamment suivant la démarche de la théorie du changement, a besoin de très peu d'efforts pour sa mise à l'échelle. Fondée sur un problème pertinent ou une contrainte réelle, analysé de façon participative, l'innovation, le programme ou la politique qui s'en sort fait rapidement tache d'huile, en termes d'adoption et de changement de comportement social. L'impact est facilement visible et s'étend plus aisément. L'effort de mise à l'échelle de l'innovation, du programme ou de la politique peut être mesuré à trois niveaux.
1) Au niveau des adoptants de l'innovation ou de l'apport du programme ou de la politique. Combien sont-ils à adapter l'innovation ? Quels usages sont faits de l'innovation ou de cet apport du programme ou de la politique mis en œuvre ?
2) Au niveau des bénéficiaires de l'exploitation de l'innovation adoptée. Car, l'adoption de l'innovation engendre des besoins qui sont satisfaits par ceux qui sont capables de les fournir et qui sont donc des bénéficiaires directs de l'adoption de l'innovation ou de l'apport du programme ou de la politique mis en œuvre. En plus des bénéficiaires directs de l'exploitation de l'innovation adoptée, il y a aussi les bénéficiaires indirects et les bénéficiaires des effets induits qu'il faut inventorier. Qui sont-ils ? combien sont-ils ? Quelle est leur répartition géographique ?
3) Au niveau de l'impact produit par l'innovation, le programme ou la politique mise en œuvre. Il y a aussi les bénéficiaires directs, les bénéficiaires indirects de l'impact. Qui sont-ils ? combien sont-ils ? Quelle est leur répartition géographique ?
RE: Evaluating Scaling Efforts: Measuring What Matters
Benin
Emile Nounagnon HOUNGBO
Agricultural Economist, Associate Professor, Director of the School of Agribusiness and Agricultural Policy
National University of Agriculture
Posté le 08/01/2025
Chers Collègues,
Je pense qu'une innovation, un programme ou une politique qui a été bien élaborée, notamment suivant la démarche de la théorie du changement, a besoin de très peu d'efforts pour sa mise à l'échelle. Fondée sur un problème pertinent ou une contrainte réelle, analysé de façon participative, l'innovation, le programme ou la politique qui s'en sort fait rapidement tache d'huile, en termes d'adoption et de changement de comportement social. L'impact est facilement visible et s'étend plus aisément. L'effort de mise à l'échelle de l'innovation, du programme ou de la politique peut être mesuré à trois niveaux.
1) Au niveau des adoptants de l'innovation ou de l'apport du programme ou de la politique. Combien sont-ils à adapter l'innovation ? Quels usages sont faits de l'innovation ou de cet apport du programme ou de la politique mis en œuvre ?
2) Au niveau des bénéficiaires de l'exploitation de l'innovation adoptée. Car, l'adoption de l'innovation engendre des besoins qui sont satisfaits par ceux qui sont capables de les fournir et qui sont donc des bénéficiaires directs de l'adoption de l'innovation ou de l'apport du programme ou de la politique mis en œuvre. En plus des bénéficiaires directs de l'exploitation de l'innovation adoptée, il y a aussi les bénéficiaires indirects et les bénéficiaires des effets induits qu'il faut inventorier. Qui sont-ils ? combien sont-ils ? Quelle est leur répartition géographique ?
3) Au niveau de l'impact produit par l'innovation, le programme ou la politique mise en œuvre. Il y a aussi les bénéficiaires directs, les bénéficiaires indirects de l'impact. Qui sont-ils ? combien sont-ils ? Quelle est leur répartition géographique ?
Merci beaucoup.