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Astrid Brousselle

Canada

Astrid Brousselle Member since 03/04/2025

School of Public Administration

Professor

During 2011 and 2016, I held the Canada Research Chair in Evaluation and Health System Improvement. The objective of the chair was to experiment evaluation approaches with the aim to have positive impacts on the problem targeted by the intervention. After reading on the impacts of the human-led environmental degradation, I decided to reorient my research activities to support the implementation of positive regenerative actions. My current research program consists in developing evaluation approaches and tools contributing to planetary health. 

Principle realizations: Between 2015 and 2019, she was the French editor of the Canadian Journal of Program Evaluation/Revue canadienne d'évaluation de programme and I was a member of the editorial board of Evaluation and Program Planning. I have published in my career over 90 peer-reviewed articles. My recent articles offer pragmatic evaluation approaches for planetary health. Since 2021 I have been invited as a key-note speaker to talk about evaluation and planetary health at the European Evaluation Society Conference, the International Francophone Evaluation Forum, and the Quebec annual public health conference.

My contributions

    • Astrid Brousselle

      Canada

      Astrid Brousselle

      Professor

      School of Public Administration

      Posté le 25/08/2025

      Merci à toutes et à tous pour vos contributions et à Monica pour la synthèse des idées. En tant qu’évaluateurs, nous considérons souvent qu’il est de notre responsabilité de faire mieux et nous assumons la charge d’améliorer nos pratiques. Cependant, si le contexte n’est pas réceptif à la collaboration, même les meilleures pratiques n’auront aucun impact.

      Les contextes ne sont pas égaux. Certains sont favorables aux approches collaboratives et seront disposés à utiliser les résultats des évaluations. D’autres contextes sont politiques, voire polarisés, et n’utiliseront probablement les évaluations que si elles sont stratégiquement pertinentes. Enfin, certains contextes ne s’intéressent tout simplement pas aux résultats des évaluations. Dans ces derniers cas, quels que soient les efforts déployés pour mettre en œuvre les meilleures pratiques de transfert de connaissances, rien ne se produira. Nous avons qualifié ces contextes de « marécages de connaissances » dans l’article que nous avons publié sur l’utilisation de l’évaluation il y a quelques années : Contandriopoulos, D., & Brousselle, A. (2012). Evaluation models and evaluation use. Evaluation, 18(1), 61-77.

      Comprendre les caractéristiques du contexte afin d’anticiper leurs implications sur l’utilisation de l’évaluation est, à mon avis, probablement la chose la plus importante à faire. Cela permet également d’alléger le poids qui repose sur les épaules des évaluateurs, à qui l’on attribue souvent une grande part de responsabilité dans l’utilisation (ou la non-utilisation) de leurs résultats.