Principal Researcher & Security Analyst: Conflict, Peace and Security
Legislative Centre for Security Analysis (LeCeSA), National Institute for Legislative and Democratic Studies (NILDS)
Posté le 03/11/2025
En premier lieu, l’évaluation elle-même doit être correcte. Ainsi, l’évaluation sur laquelle porte la communication doit concerner l’activité ou le projet approprié. De même, les données collectées doivent se rapporter entièrement à l’activité ou au projet tel que mandaté.
De plus, la communication ne doit pas être unidimensionnelle. Elle doit utiliser différents canaux : supports imprimés, médias électroniques, y compris les médias sociaux. Cela souligne la nécessité de diffuser le message par divers moyens afin d’en renforcer l’efficacité.
Il est important de noter que si la capacité du personnel impliqué dans l’exercice d’évaluation est faible, le rapport le sera également, et la communication risque d’être erronée. De même, il serait inapproprié de confier la communication à une personne non qualifiée. Le communicateur chargé du rapport d’évaluation doit être bien informé sur le projet et ses résultats tels que présentés. Il peut donc être nécessaire d’associer des experts du projet pour exécuter certaines tâches spécifiques.
Dans la mesure du possible, l’implication des acteurs locaux à travers les OSC ou les OCB peut accélérer l’effet de communication, car les différents canaux d’information et de communication locaux faciliteraient la diffusion. Cela peut également constituer une approche rentable à explorer.
En outre, l’utilisation de langues locales et simples peut renforcer l’impact auprès des communautés bénéficiaires du projet, car la compréhension ne poserait pas de difficulté.
Chaque communication sur une évaluation de projet doit être réalisée selon les meilleures pratiques et présenter une pertinence locale.
RE: Beyond the final report: What does it take to communicate evaluation well?
Nigeria
Egwuatu U. ONYEJELEM
Principal Researcher & Security Analyst: Conflict, Peace and Security
Legislative Centre for Security Analysis (LeCeSA), National Institute for Legislative and Democratic Studies (NILDS)
Posté le 03/11/2025
En premier lieu, l’évaluation elle-même doit être correcte. Ainsi, l’évaluation sur laquelle porte la communication doit concerner l’activité ou le projet approprié. De même, les données collectées doivent se rapporter entièrement à l’activité ou au projet tel que mandaté.
De plus, la communication ne doit pas être unidimensionnelle. Elle doit utiliser différents canaux : supports imprimés, médias électroniques, y compris les médias sociaux. Cela souligne la nécessité de diffuser le message par divers moyens afin d’en renforcer l’efficacité.
Il est important de noter que si la capacité du personnel impliqué dans l’exercice d’évaluation est faible, le rapport le sera également, et la communication risque d’être erronée. De même, il serait inapproprié de confier la communication à une personne non qualifiée. Le communicateur chargé du rapport d’évaluation doit être bien informé sur le projet et ses résultats tels que présentés. Il peut donc être nécessaire d’associer des experts du projet pour exécuter certaines tâches spécifiques.
Dans la mesure du possible, l’implication des acteurs locaux à travers les OSC ou les OCB peut accélérer l’effet de communication, car les différents canaux d’information et de communication locaux faciliteraient la diffusion. Cela peut également constituer une approche rentable à explorer.
En outre, l’utilisation de langues locales et simples peut renforcer l’impact auprès des communautés bénéficiaires du projet, car la compréhension ne poserait pas de difficulté.
Chaque communication sur une évaluation de projet doit être réalisée selon les meilleures pratiques et présenter une pertinence locale.